Le caban petit bateau de mon enfance

 Parfois, on a besoin de retourner en enfance, le temps d’une soirée avec ses copines, le temps de descendre un paquet de bonbons, peu importe la façon dont on régresse, tout est bon à prendre tant qu’on a l’impression que l’insouciance l’emporte sur tout le reste.

Cette sensation de légèreté qu’on pouvait ressentir quand nous étions enfants, cette excitation qui montait quand on se disait avec nos copines « tu imagines quand on sera grandes, tout ce qu’on pourra faire? Manger le goûter avant 16h, regarder la TV autant de temps qu’on voudra, couper les cheveux de nos Barbie sans se faire gronder! ».

Des années après, moi j’vous l’dis, j’ai vraiment, mais vraiment envie de retrouver cette sensation, juste quelques minutes, quelques instants, pour me sentir encore une fois toute petite, insouciante, mais surtout, la tête remplie de jolis rêves futiles et colorés! Aujourd’hui, entre le boulot, les études, l’entreprise que j’essaie de monter tant bien que mal, j’ai besoin de vivre un petit retour en arrière, peu importe la façon de faire!

Je vous en avais parlé dans mon dernier post déco (clic ici) il y’a quelques jours, j’ai eu la chance de participer à une virée shopping inter blogueurs à Roppenheim The Style Outlet, pour ses fêter, tout en mode, ses 3 ans!

Sur place, un défi nous attendait: dénicher LA pièce incontournable de cette saison. Il ne m’a pas fallu bien longtemps pour faire mon choix et tomber d’amour dans la boutique Petit Bateau du style Outlet, car j’avais trouvé LA façon parfaite pour retomber en enfance, tout en gardant mon côté shoppeuse addict que je n’avais pas d’ailleurs étant petite fille, car j’étais plutôt du genre garçon manqué et zouave de service (ça, ça n’a pas changé par contre).

Le caban Petit Bateau, un incontournable, un intemporel, un indémodable, mais surtout, un goût d’enfance qui fait du bien et donne un peu de couleur aux journées bien grises, surtout ces derniers temps.

L’expression « en avril ne te découvre pas d’un fil se vérifie bien, et je suis plus qu’heureuse d’affronter la pluie emmitouflée sous mon joli caban jaune d’enfant, en sautant dans les flaques et en riant plus fort que jamais